Wasamac : Favoriser le développement local

| 8 novembre 2022

Ils sont plus de 20 à travailler sur le futur site minier Wasamac.

Des foreurs, des opérateurs de machineries lourdes, des travailleurs forestiers et des géologues, notamment. 

La minière veut développer un lien de confiance avec les Premières Nations qui les entourent, mentionne le directeur régional de Wasamac, Marc-André Lavergne. D’ailleurs, le déboisement de l’emplacement des usines a été effectué par la Première Nation d’Abitibiwini. 

Soucieux de ses relations avec ses voisins, la minière possède une multitude de mesures d’atténuation pour les nuisances visibles et sonores. 

Par exemple, à moins d’y effectuer des travaux, les employés de Yamana ou les sous-contractants sont interdits de circuler, peu importe la raison, sur le rang des Cavaliers, explique la représentante du groupe de travail pour les résidents du rang des Cavaliers, Marie-Pier Bournival. 

Wasamac priorise également la main-d’œuvre des quartiers d’Évain et Arntfield. 

Le projet minier souterrain Wasamac organise, la semaine prochaine, une rencontre avec des citoyens, notamment du rang des Cavaliers, au Club de l’âge d’Or d’Évain.

La minière organise une discussion sur l’eau, l’air, la circulation et l’ambiance sonore.