7e colloque annuel de l’Institut national des mines du Québec

L’élite de l’industrie minière québécoise s’est réunie, ce matin, à l’occasion d’un colloque sous le thème de la formation de la main-d’œuvre. 

Au programme, trois conférences sur la modernisation de l’industrie des mines, une discussion d’un panel d’experts et une activité de réseautage, explique la présidente-directrice générale de l’Institut national des mines du Québec, Christine Duscheneau.

Le directeur de la mine Odyssey du partenariat Canadian Malartic, Patrick Mercier, a notamment présenté les enjeux entourant l’ajout de nouveaux équipements électriques.

Ces nouveaux équipements auront des effets positifs considérables sur la qualité de vie des travailleurs, une priorité pour lui.

Pour régler le problème de pénurie de personnel, l’Institut mise sur la main-d’œuvre autochtone, mais veut offrir une méthode d’enseignement culturellement adaptée, mentionne la spécialiste en éducation autochtone, Émilie Deschênes.

Le directeur général de l’Académie de la transformation numérique de l’Université Laval, Martin Noël, était aussi présent pour aborder l’un des défis d’aujourd’hui pour certaines industries, soit la transition vers le numérique.

En continuant d’offrir des formations à jour en fonction des réalités modernes, l’Institut national des mines du Québec espère avoir un regard vers l’avenir tout en continuant de vivre dans le présent.