Alzheimer : Une première Politique québécoise

À la suite d’une hausse de la prévalence de la maladie d’Alzheimer ou d’autres troubles neurocognitifs, le gouvernement québécois annonce une première Politique québécoise sur la maladie. 

2 000, c’est le nombre de personnes qui vivent actuellement avec un diagnostic d’Alzheimer seulement ici, dans la région. 

Un chiffre qui est appelé à doubler d’ici les prochaines années, selon le directeur général de la Société Alzheimer d’Abitibi-Témiscamingue, Guillaume Parent.

Ce dernier voit donc la mise sur place de cette nouvelle Politique d’un bon oeil. 

La Politique se divise en cinq grands axes, comme la recherche et l’innovation.

Comme la région ne dispose d’aucune chaire de recherches scientifiques en lien avec les troubles neurocognitifs, on mise ici sur d’autres expertises, explique ministre responsable des Aînés à la CAQ, Sonia Bélanger.

Le directeur général de la Société Alzheimer d’Abitibi-Témiscamingue mentionne que le plan d’action et ses détails en lien avec la Politique visant à la réalisation des cinq axes sera connu d’ici l’automne.