Les Témiscabitibiens d’expression anglaise en situation précaire

Les enjeux quotidiens de la communauté des Québécois d’expression anglophone sont toujours vivants.

Même ici, en Abitibi-Témiscamingue, les anglophones tirent de l’arrière et à plusieurs niveaux.

L’apprentissage de la langue française serait un enjeu qui joue dans la balance.

La communauté se sent invisibilité par le gouvernement du Québec, mentionne Chad Walcott, le directeur de l’engagement et des communications à la Table ronde provinciale sur l’emploi.

Pour la directrice générale de Neighbours Abitibi-Témiscamingue, Sharleen Sullivan, c’est un ensemble de facteurs qui explique le manque à gagner de la communauté.

Donc, il y a de l’espoir.

Selon Chad Walcott, la communauté politique québécoise semble de plus en plus ouverte à la cause des Québécois d’expression anglophone.

Et en ce sens, le PERT a rencontré, pas plus tard que la semaine dernière, le ministre de la Francisation et de l’Intégration, Jean-François Roberge, afin que la communauté puisse faire part clairement de leurs craintes et de leurs priorités.