Avortement : Un accès difficile dans la région

Lundi, la ministre Biron s’est prononcée, entre autres, sur l’accès aux services en région et à l’information fiable et véridique pour permettre aux femmes de choisir.

Des organismes œuvrant auprès des femmes ont des doutes sur la portée du plan gouvernemental, c’est le cas de Jacinthe Marcoux, la cogestionnaire du Centre de femmes du Témiscamingue.

La grandeur du territoire complique l’accès aux services pour l’avortement, reconnaît la chargée de projet au Regroupement de femmes de l’Abitibi-Témiscamingue, Chantal Lalonde.

Au-delà des services offerts, l’information disponible en lien avec l’avortement est parfois difficile à trouver, selon le regroupement.

Mais une formation pour l’accompagnement à l’interruption de grossesse donnée par les passeuses contribue à changer la donne.

Le CISSS-AT et la ministre de la Condition féminine n’étaient pas disponibles aujourd’hui pour nous donner plus de détails sur le Plan d’accès et les possibles actions dans la région.